La compagnie VIème Lyon

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Histoire du Haut-Koenigsbourg

Oyé bonnes gens

Voici le début de l’histoire que nous avons composé au Haut-Koenigsbourg. Alors j’ai ajouté quelques détails, j’espère que vous ne m’en voudrez pas….

Si vous le modifié est-ce que vous pourriez m’envoyer une copie ??

J’espère que ça se passe bien cette année et que Pascaline ne vous fait pas trop souffrir.

 

Bizz

Votre CP à la retraite

 

An de grâce 1594, cette mystérieuse date est inscrite sur l’armoire de la Kaiserin Victoria. Cette date évoque un passage bien noir dans l’histoire du Haut-Koenigsdbourg… Enfilons les couloirs du temps pour aller à la découverte du château au XVI siècle…

 

An de grâce 1594, jour de la St Jean. C’est la fête au château, le jeune seigneur Philip Von Randsam de marie avec la jeune et belle Luisa Von Winterfeld. Pour cette occasion le Kaiser August III et la Kaiserin Victoria sont invités au château.

Ceux-ci apportent de nombreux cadeau au jeune couple dont le plus beau est un coffret de marié magnifique en … Le jeune écuyer du seigneur Philip nommé Wilhelm est chargé de le ranger dans la chambre de son maître.

Trois jours après les festivités, aux alentours de minuit, le ciel étant plus sombre que jamais, le garde de service près du grand bastion craignant un mauvais présage dans cette nuit anormalement brumeuse, regarda vers le ciel pour essayer d’y apercevoir des corbeaux signes de malheurs. C’est alors qu’il aperçoit une ombre agile sortir tout en silence et souplesse par la fenêtre de l’une des chambres des appartements seigneuriaux. Intrigué, croyant que c’était l’un des chats sauvages des environs, il prit une torche et la lança vers l’animal. A la lueur fugace de la torche, il vit avec stupeur que ce n’était pas un chat mais un homme portant un coffret dans ses mains gantées de noir. Comprenant soudain ce qu’il se passait il sonna l’alerte. Le voleur s’enfuit et rentra dans le château par une autre fenêtre avec tellement de précipitation qu’il accrocha un morceau de tunique.

« Bon sang que se passe-t-il ? » demanda le seigneur que les cris avaient réveillés.

« Seigneur j’ai vu un homme me paressant être l’un de vos écuyer sortir de vos appartements avec le coffre que vous avait offert le Kaiser.

-C’est impossible ! »

Le maître des lieux se précipita dans une chambre voisine de la sienne suivit du garde et de son intendant, alla droit vers un étrange buffet. Puis ouvrit un tiroir et en faisant jouer le fond  découvrit une cachette juste assez profonde pour y accueillir un coffret.

« Il est vide…

-Seigneur qui était au courant de cette cachette ?

-Juste moi, ma tendre épouse et mon écuyer. Ce ne peut être ma femme donc… Non je ne puis le croire.

-Pourtant seigneur je pense me souvenir qu’il est de basse extraction.

-En effet bien que sa famille soit noble, leur sang s’est appauvrit ainsi que leur bien. Mais il me paressait honnête.

-Nul ne peut réellement savoir le cœur des gens.

-Nous attendrons des preuves. Wilhelm !! 

-Oui Seigneur ?

-tu vas suivre ces gardes, tu es en état d’arrestation.

-Mais…

-Silence ! Comment oses-tu parler au seigneur Philip après ce que tu viens de faire ?

-Je…

-Silence j’ai dit. »

 

Wilhelm passa une nuit des plus mouvementée dans sa geôle. Son maître ne pouvait pas croire qu’il fusse coupable. Il l’avait toujours servit avec fidélité.

Mais pourtant…

 

« Wilhelm Luis Von Tischein, écuyer du Seigneur Von Randsam, vous êtes accusé d’avoir volé le coffret de ce dernier. Un garde certifie vous avoir reconnu, sortant du lieu du crime.

-Ce n’est pas vrai ! Je suis innocent ! Je n’aurait jamais fait ça !

-Silence ! Entre  autre, nous avons retrouvé accroché à un clou près de la fenêtre un morceau de tunique jaune, réservée aux écuyers. Or vous êtes le seule à avoir vu où était caché le coffret dans la chambre.

En conséquence, vous êtes condamnés au fer rouge !

-Non ! Je n’ai rien fait ! »

Les gardes emmenèrent le jeune homme blond qui se débattit de toutes ses forces.

 

Quelques jours plus tard. Il revint dans la cille dans un manteau sombre, le visage caché par un capuchon. Il devait retrouver le coupable pour laver son honneur.

En passant devant l’orfèvre son regard fut attiré par un coffret bien connu. Au moment où il allait entrer un homme vétu d’une tunique noir et avec un signe tatoué sur le bras pénétra dans la boutique . Après un long conciliabule et une poignée d’or, le coffret changea de mains. L’homme en noir partit d’un pas vif vers une ruelle sombre.

Wilhlem le suivit….

 



03/11/2006
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